Le soft-power russe, en Europe, passe ,avant-tout, par l’entre-jambe.
Des millions de femmes russes ont rejoint nos contrées occidentales depuis la chute de l’URSS. Instruites, intelligentes, belles pour beaucoup, elles ne sont pas allées chercher des plombiers polonais mais des hommes avec un certain niveau social.
Les virulents politiciens pro-russes en Europe ont peut être été financés par Moscou, peut être, mais surtout ont souvent une épouse russe telle un Mariani en France.
On retrouve pour les autres après une voyage à l’est une certaine fascination pour ces femmes russes un brin hautaine – les russes le sont assez naturellement – et parfaitement « conscientes » de leurs charmes
Je dirais même que la plupart des soutiens masculins « virulents » pro-russe viennent d’un chatouillement de leur entre-jambe avant tout.
Parfois la géopolitique tient à très peu de chose et les décisions les plus importantes sont prises sur des détails avant tout émotionnels voir strictement sexuels – même si aucune consommation réelle n’a été réalisée au delà de fantasmes d’hommes mal dans leur peau et moches comme des culs.
La plaisanterie Poutienne sur les « meilleurs prostituées du monde » visant un certain Trump illustre ce soft-power de l’entre-jambe.
Les ukrainiennes, un brin plus provinciale dans leur style, s’en sont moins bien sortis en prenant des partis pour beaucoup « moins élevés » que leurs collègues russes.
Ces épouses russes ont atterri en plus dans un occident qui avait une vision « assez crasseuse » de leurs pays d’origine et ont du subir maintes humiliations pour pouvoir s’intégrer ; ce qu’elles n’ont faits pour la la plupart que des très superficiellement en maintenant leurs progénitures pondues dans nos cliniques dans un univers russe avant-tout : dessins animés russes, écoles russes, blagues russes…elles forment chez nous pour la plupart des futurs petits soldats de l’ordre néo-impérialiste russe ; des pions d’une future cinquiéme colonne.
Cette dispora vit donc avec aussi un désir de revanche contre un occident qu’elles ont beaucoup subi : les marchés du travail très protégés occidentaux reconnaissant très mal des diplômes par exemple ..certaines se sont retrouvées n’être que des épouses ou des mères malgré des études brillantes dans leurs pays d’origine qui les destinaient à autre chose qu’un unique rôle « maternel ».
Tout cela forme un groupe de population « assez actif » qui diffuse très largement sur les réseaux sociaux, dans leurs familles et chez leurs amis, la propagande Russe et alimente un désir de revanche qu’on peut assez facilement comprendre au demeurant.
Cette dispora « impérialiste » pèse dans l’inertie de l’Europe et sa lacheté face aux appetits colonialistes de leur mère patrie.
En cela les politiques migratoires vis à vis de ces populations devraient être revues de manière assez substantielles.